Romain Weber – Les recueils facétieux augmentés des XVIe-XVIIe siècles, une piste d’étude pour leurs publics

Cette section constitue la partie 4 de 5 du numéro
Verger XXIX - Publics de la facétie

Romain Weber (chercheur indépendant)

Portrait de René de Menou par Crispin de Passe (Musée Carnavalet).

Portrait de René de Menou par Crispin de Passe (Musée Carnavalet).

Cet article propose d’étudier les publics des recueils facétieux en s’appuyant sur deux textes, La Nouvelle Fabrique de Philippe d’Alcripe et Les Heures Perdues de R. D. M. cavalier françois de René de Menou, qui ont connu des éditions pirates augmentées. Les remaniements des éditeurs, qui modifient, ajoutent, enlèvent des éléments, sont autant de traces textuelles de lectures et donc, de lectorat potentiel. Cet angle d’étude a été complété par le dépouillement le plus exhaustif possible de toutes les références anciennes (XVIe-XIXe siècle) de ces deux textes qui nous sont parvenues (mentions dans des bibliographies, articles, catalogues de vente, etc.) et des publics auxquelles elles renvoient.

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Pour consulter le sommaire du bouquet du Verger consacré aux publics de la facétie, on peut se reporter ici.

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◀︎◀︎ Tiphaine Rolland – La facétie dans les ruelles galantes ? Evolutions du lectorat des compilations plaisantes (1640-1660).Michèle Rosellini – Quelques hypothèses sur l’évolution du goût du public pour les contes facétieux au XVIIe siècle. ►►