Gautier Amiel, Audrey Gilles et Adeline Lionetto – “A chascun montre sa follie”. Hélisenne de Crenne et Les Angoisses douloureuses qui procèdent d’amour.

Cette section constitue la partie 1 de 8 du numéro
Verger XXX - Les Angoisses douloureuses qui procèdent d'amour

Gautier Amiel (U. de Rouen), Audrey Gilles (U. Polynésie française) et Adeline Lionetto (Sorbonne Université)

 

Andrea del Castagno, "Sibylle de Cumes", vers 1450, Florence, Galerie des Offices (source : WGA).

Andrea del Castagno, "Sibylle de Cumes", vers 1450, Florence, Galerie des Offices (source : WGA).

Pour la deuxième année consécutive, le jury des Agrégations de Lettres a choisi de mettre à l’honneur une œuvre de la Renaissance réputée composée par une femme. Après les Oeuvres de Louise Labé, ce sont donc Les Angoisses douloureuses qui procèdent d’amour, un roman signé “Hélisenne de Crenne” et publié pour la première fois en 1538 par Denis Janot à Paris, qui sont offerts à l’attention des candidates et candidats. Nous revenons ici sur les principaux enjeux de l’étude de cette œuvre sur lesquels nous essayons de faire un point précis : l’hybridité du texte, la mise en récit d’une intériorité souffrante,  les problématiques de genre mais aussi les différentes images de l’amour qui y sont déployées. 

Télécharger l’introduction de Gautier Amiel, Audrey Gilles et Adeline Lionetto.

Pour consulter le sommaire du bouquet du Verger consacré aux Angoisses douloureuses qui procèdent d’amour d’Hélisenne de Crenne, on peut se reporter ici.

Navigation du numéro

Anne Boutet – Humeurs et tremblements. Le spectacle des corps féminins dans “Les Angoisses douloureuses qui procèdent d’amour” d’Hélisenne de Crenne. ►►