Danielle Haase-Dubosc : Armide, la blanchisseuse et les autres. Une tentative de mise en relation de l’art et de la société

Cette section constitue la partie 9 de 11 du numéro
LE VERGER – Bouquet IV : Viol et ravissement

Danielle Haase-Dubosc, Université de Columbia

 

Annibale Carracci, "Renaud et Armide", v. 1601, Naples, Musée de Capodimonte (domaine public).

Annibale Carracci, "Renaud et Armide", v. 1601, Naples, Musée de Capodimonte (domaine public).

Nicolas POUSSIN, "Armide et Renaud", 1629. (Photo  Aiwaz via Wikimedia Commons, domaine public).

Nicolas POUSSIN, "Armide et Renaud", 1629. (Photo  Aiwaz via Wikimedia Commons, domaine public).

 

Comment peut-on envisager que l’image-affect du personnage d’Armide dans la Jérusalem libérée de Torquato Tasso ait pu toucher et influencer les juges français du dix-septième siècle lorsqu’ils avaient à décider du sort de femmes accusées du rapt de séduction ? De quelle manière peut-on étudier les relations entre l’art et la société en partant d’un cas précis ?

 

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Pour consulter le sommaire du bouquet du Verger consacré à “Viol et ravissement”, on peut se reporter ici.

 

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