Florence Bonifay et Miriam Speyer – Des bases de données de thèse : quel devenir pour une base « artisanale » ?

Cette section constitue la partie 11 de 12 du numéro
LE VERGER - Bouquet XXIII : Circulation des écrits & Humanités numériques

Florence Bonifay (U. Lyon 2) et Miriam Speyer (U. Paris Cité)

Johan Sadeler et Jan Van Der Straet, "Litterae" (détail), Bibliothèque municipale de Lyon, 1597.

Johan Sadeler et Jan Van Der Straet, "Litterae" (détail), Bibliothèque municipale de Lyon, 1597.

L’étude interroge le devenir de bases de données élaborées dans le cadre d’une recherche individuelle, la thèse en l’occurrence. Au travers de deux exemples précis, RéseauxPoètesXVI et Refaire Lachèvre, il s’agit de réfléchir aux possibilités de mettre ces solutions ponctuelles, « artisanales », à la disposition de la communauté des chercheurs et de penser les modifications, tant scientifiques que technologiques, qu’impose un tel élargissement du cercle des utilisateurs. Car si l’intérêt de ces outils au-delà des études doctorales ne fait pas de doute, leur publication et le souci de leur pérennité engagent un réajustement de leurs assises théoriques et des moyens pratiques de les interroger. L’article envisage ces questions à l’aune du statut de jeune chercheur qui, d’un point de vue institutionnel, doit savoir improviser et composer avec quelques éléments instables lorsqu’il se lance dans le domaine des humanités numériques.

Télécharger l’article de Florence Bonifay et Miriam Speyer.

Pour consulter le sommaire du bouquet du Verger “Circulation des écrits littéraires de la Première Modernité & Humanités numériques”, on peut se reporter ici.

 

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