Gautier Amiel et Adeline Lionetto – La danse de la Renaissance, un art trop éphémère pour être traduit et mis en livre ?

Cette section constitue la partie 2 de 15 du numéro
LE VERGER - Bouquet XVI : Les très riches heures de la chorégraphie

Gautier Amiel et Adeline Lionetto (Sorbonne Université)

Fra Filippo Lippi, "Le repas d'Hérode : la danse de Salomé" (détail), fresque, Prato, vers 1460-1464 (source : WGA).

Fra Filippo Lippi, "Le repas d'Hérode : la danse de Salomé" (détail), fresque, Prato, vers 1460-1464 (source : WGA).

Cette introduction fait d’abord le point sur les nombreuses études qui nous ont conduits à formuler le contenu et les ambitions du colloque “Les très riches heures de la chorégraphie au XVIe siècle : regards croisés”, à savoir nous interroger sur les modalités du passage de la danse à la scène silencieuse et immobile du livre et déterminer quelles images de l’art chorégraphique de la Renaissance nous sont aujourd’hui données à lire et à voir dans une variété de supports qui sont  les seuls témoins de traditions et de performances souvent oubliées. Nous y présentons ensuite un bilan de nos travaux individuels et collectifs pour enfin mettre en évidence les principales questions soulevées ainsi que les pistes ouvertes par nos échanges.

Télécharger l’introduction de Gautier Amiel et Adeline Lionetto.

Pour consulter le sommaire du bouquet du Verger consacré à la danse de la Renaissance, on peut se reporter ici.

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